20110107

Netzkommunikation

            Eine Netzkommunikation könnte Forscher helfen. Das Wissenschaftsjournal « Nature » betrieb ein Netzwerk. Der Forscher Ijad Madish, Berlin, hat eine andere Idee verwirklicht. Vor zwei Jahren gründete der Virologe das Startup Researchgate, ein Online-Netzwerk fur Forscher. Eine Art Facebook des Wissens.
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            Facebook est le réseau sans frontière le plus connu. Mais il en existe d’autres. Notamment au niveau des savoirs. La revue Nature entretient un réseau de ce genre. Un chercheur de Berlin en a inventé un autre qui prend désormais de l’ampleur. Un réseau professionnel gratuit.
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Facebook is the most famous borderless network.  However, there are others, especially those regarding knowledge.  ‘Nature’ magazine, for example, nurtures such a network.  A scientist from Berlin has also recently invented one that keeps growing in magnitude; a free professional network.
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            Facebook è la rete senza limiti piu conosciuta nel mondo. Ma ne esistono altri. In particolare al livello delle conoscienze. La rivista Nature mantiene una rete del genere. Un cercatore di Berlino ne ha inventata un altra che non fa altro che ingrandirsi. Una rete professionale gratuita.
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            Sınırsız ağ dediğimizde ilk olarak Facebook akıllara gelir. Ancak başka ağlar da yok değil. Özelikle bilim alanında örneğin Doğa adlı dergi veya Berlinli bir araştımacı tarafından tasarlanan bir başka ağ önemli boyutlara ulaştı. Bunların içinde profesyonel bedava ağlar da bulunuyor.
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            Eine Netzkommunikation könnte Forscher helfen. Das Wissenschaftsjournal « Nature » betrieb ein Netzwerk. Der Forscher Ijad Madish, Berlin, hat eine andere Idee verwirklicht. Vor zwei Jahren gründete der Virologe das Startup Researchgate, ein Online-Netzwerk fur Forscher. Eine Art Facebook des Wissens.
            Die Plattform soll Wissenschaftlern über Fachgrenzen hinweg die Möglichkeit zum Austausch bieten. Forscher können sich bei Researchgate präsentieren, Probleme diskutieren, nach Jobs suchen und vor allem ihre Arbeitsergebnisse mit denen von Kollegen aus aller Welt vergleichen. In rund 2700 Diskussionsforen diskutieren die Researchgate-Mitglieder über unterschiedlichste Aspekte ihrer Arbeit.
            Doch bei Researchgate werden nicht nur Fragen gestellt, sondern Auch fehlgeschlagene Experimente diskutiert, die sonst keiner grossen öffentlichkeit bekannt geworden wären. « Man sagt ja immer, dass man aus den eigenen Fehlern und denen von anderen lernen kann », sagt Madish. « Doch in den wissenschaftlichen Journalen werden gewöhnlich nur die Erfolgsmeldungen publiziert ».
            Der Gründer stellt sich fest, dass es im Internet kein intensiv genutzes Wissensnetz für Forscher gab, das auch über Fachgrenzen hinweg funktionierte.

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            Un réseau de communication ou de sociabilité spécialisé peut aider les chercheurs. La revue Nature entretient un tel réseau. Le chercheur Ijad Madish, de Berlin, a développé une autre idée. Depuis deux ans, le virologue a fondé la startup Researchgate, un réseau d’échange sur le net à destination des chercheurs, en Europe et dans le monde. Une sorte de Facebook du savoir.
            La plateforme offre aux chercheurs des disciplines scientifiques la possibilité de réaliser des échanges en passant au-dessus des frontières disciplinaires. Les chercheurs peuvent se présenter sur le réseau, ils peuvent discuter de problèmes, chercher des postes de travail et, avant toutes choses, comparer les résultats de leurs travaux avec ceux de leurs collègues partout dans le monde. Au sein des 2700 forums de discussion, ces chercheurs, membres du réseau, peuvent discuter des différents aspects de leur travail.
            Cela étant, dans ce réseau, ce ne sont pas seulement des questions qui sont mises en avant, mais des erreurs découvertes dans les expérimentations sont aussi prises en compte et discutées, alors qu’il est peu habituel de faire part de ce genre de choses. Et pourtant, on dit partout que « l’on apprend toujours de ses erreurs », et qu’il est salutaire d’échanger des données positives et négatives pour faire avancer la recherche, rappelle Madish. Malheureusement, dans les revues spécialisées, on ne publie jamais que les réussites et les données qui affichent des réussites.
            Le fondateur de ce réseau a rapidement compris qu’il n’existait pas, sur Internet, un tel réseau d’échange et de sociabilité, destiné aux chercheurs, permettant de surmonter les barrières, les frontières et les a priori.